Maroc, marina de Salé

Nous avons passé un mois au Maroc dont 15 jours avec de la visite. La mère de Stef et son copain sont venus nous voir et cette fois nous avons laissé le bateau à la marina et avons profité des joyaux du Maroc.

Mais avant que le Maroc nous en mette plein les yeux avec ses beautés, les côtes nous ont accueillies avec un brouillard à couper au couteau. J’avais fait une bonne partie de la navigation de nuit car Stef avait une grosse otite et vers 3 heures du matin, je voyais à peine l’avant du bateau. Je suis restée le plus possible loin des côtes pour éviter les pêcheurs et armé de ma corne de brume, je jouais à papaye et soufflais de temps en temps pour avertir d’éventuel bateau.

Nous avons reçu un accueil charmant de la capitainerie et des douaniers qui malgré ce que l’on avait lu, n’ont pas vraiment fouillé le bateau. Nous nous étions pourtant sacrifié pour vider nos réserves d’alcool avant d’arriver au Maroc…nous seront obligés d’en racheter. Bien que le Maroc soit le premier producteur de vin du monde Arable, il n’est pas facile de s’en procurer. À Rabat, pourtant la capitale, seul le Carrefour en vend, et pour en acheter, il faut se rendre d’en une cave…un petit gout de prohibition!

Nous avons rencontré des gens très sympathiques à la Marina, la plupart des français et des hollandais. Les filles ont trouvé des amis et elles se sont bien amusées.

Mamie Yolande est arrivée juste au début de l’Aïd. Il s’agit d’une fête célébrée deux mois après la fin du Ramadan. Chaque famille égorge un mouton (dans son garage bien sûr) et les têtes sont brulées sur des barbecues dans la rue afin de bruler les poils et d’ensuite la manger dans le couscous. Les peaux sont données et entassée ce qui provoque une odeur assez tenace de viande fermentée pourri au soleil. En passant devant un de ces foyers, un jeune a voulu faire une blague aux filles et s’est coiffé d’une tête de mouton et nous à rejoint en courant. Sa blague a réussi car les filles ont sursauté et il était bien content de leur avoir fait peur…mais quelle idée!

Nous avons passé un mois au Maroc dont 15 jours avec de la visite. La mère de Stef et son copain sont venus nous voir et cette fois nous avons laissé le bateau à la marina et avons profité des joyaux du Maroc.

Mais avant que le Maroc nous en mette plein les yeux avec ses beautés, les côtes nous ont accueillies avec un brouillard à couper au couteau. J’avais fait une bonne partie de la navigation de nuit car Stef avait une grosse otite et vers 3 heures du matin, je voyais à peine l’avant du bateau. Je suis restée le plus possible loin des côtes pour éviter les pêcheurs et armé de ma corne de brume, je jouais à papaye et soufflais de temps en temps pour avertir d’éventuel bateau.

Nous avons reçu un accueil charmant de la capitainerie et des douaniers qui malgré ce que l’on avait lu, n’ont pas vraiment fouillé le bateau. Nous nous étions pourtant sacrifié pour vider nos réserves d’alcool avant d’arriver au Maroc…nous seront obligés d’en racheter. Bien que le Maroc soit le premier producteur de vin du monde Arable, il n’est pas facile de s’en procurer. À Rabat, pourtant la capitale, seul le Carrefour en vend, et pour en acheter, il faut se rendre d’en une cave…un petit gout de prohibition!

Nous avons rencontré des gens très sympathiques à la Marina, la plupart des français et des hollandais. Les filles ont trouvé des amis et elles se sont bien amusées.

Mamie Yolande est arrivée juste au début de l’Aïd. Il s’agit d’une fête célébrée deux mois après la fin du Ramadan. Chaque famille égorge un mouton (dans son garage bien sûr) et les têtes sont brulées sur des barbecues dans la rue afin de bruler les poils et d’ensuite la manger dans le couscous. Les peaux sont données et entassée ce qui provoque une odeur assez tenace de viande fermentée pourri au soleil. En passant devant un de ces foyers, un jeune a voulu faire une blague aux filles et s’est coiffé d’une tête de mouton et nous à rejoint en courant. Sa blague a réussi car les filles ont sursauté et il était bien content de leur avoir fait peur…mais quelle idée!